Claude Rich
Claude Rich, né le 8 février 1929 à Strasbourg (Bas-Rhin) et mort le 20 juillet 2017 à Orgeval (Yvelines), est un acteur français.
Il a notamment reçu deux César, celui du meilleur acteur en 1993 pour Le Souper et un César d'honneur en 2002.
Claude Rich passe les premières années de sa vie à Strasbourg, jusqu'en 1935, puis il emménage avec sa mère et ses trois frères et sœurs à Paris, au 95, boulevard Saint-Michel après la mort de son père, ingénieur de métier, victime à 40 ans de la grippe. Sa mère espère qu'il deviendra prêtre, et bien qu'il ne choisisse pas la voie de la prêtrise, elle ne lui en tiendra pas rigueur, car elle-même ayant voulu être sculptrice, elle l'aidera beaucoup dans son désir d'être acteur. La foi de sa mère laissera néanmoins des traces, car son père étant d'origine alsacienne et sa mère d'origine bordelaise, il se définit comme chrétien-alsacien.
Durant la Seconde Guerre mondiale, vers 1943-1944, il vit aussi en pension à Neauphle-le-Vieux, à l’École du Gai Savoir de Michel Bouts où sa passion du théâtre est née. Pendant que son frère est engagé dans la 1re armée de de Lattre, Claude Rich assiste à la Libération de Paris.
Il commence à travailler comme employé de banque, suit en parallèle les cours Dullin, le Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche, et intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, promotion de 1953 dont il sort avec le deuxième prix (par ailleurs, aucun premier prix n'est décerné cette année-là). C'est là qu'il se lie d'amitié avec plusieurs élèves qui deviendront tous d'illustres acteurs: Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer. Ensemble ils forment ce qui fut appelé la «bande du Conservatoire».
Claude Rich fait ses débuts au théâtre de la Renaissance, et participe au film Les Grandes Manœuvres de René Clair, ce qui lance sa carrière cinématographique en 1955.
Il interprète fréquemment des rôles secondaires de jeune premier dans les années 1960, notamment en donnant la réplique à Lino Ventura dans Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner ou à Louis de Funès dans Oscar (1967). En 1968, Alain Resnais lui propose l'un des plus grands rôles de sa carrière dans le film de science-fiction Je t'aime, je t'aime, dans lequel il interprète un homme voyageant dans son passé après une tentative de suicide. Le réalisateur l'a choisi pour son timbre de voix qu'il apprécie particulièrement.
Durant les décennies 1970 et 1980, il retourne à sa passion première, le théâtre, notamment dans Hadrien VII pour lequel il est récompensé par le Prix du Syndicat de la critique, ainsi que dans un passage très remarqué à la Comédie-Française pour le rôle-titre de Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mis en scène par Franco Zeffirelli (1976). Cela ne l'empêche pas d’apparaître plusieurs fois sur grand écran, notamment dans La Femme de Jean (1974) dans un rôle atypique, Adieu poulet (1975), Le Crabe-Tambour (1977) et La Guerre des polices (1979).
En 1989, il joue Talleyrand dans la pièce Le Souper de Jean-Claude Brisville, aux côtés de Claude Brasseur. L’adaptation cinématographique de cette pièce lui permet d'effectuer un retour en force au cinéma en 1992. Sa prestation sera récompensée par le César du meilleur acteur en 1993. ...
Source: Article "Claude Rich" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.
Il a notamment reçu deux César, celui du meilleur acteur en 1993 pour Le Souper et un César d'honneur en 2002.
Claude Rich passe les premières années de sa vie à Strasbourg, jusqu'en 1935, puis il emménage avec sa mère et ses trois frères et sœurs à Paris, au 95, boulevard Saint-Michel après la mort de son père, ingénieur de métier, victime à 40 ans de la grippe. Sa mère espère qu'il deviendra prêtre, et bien qu'il ne choisisse pas la voie de la prêtrise, elle ne lui en tiendra pas rigueur, car elle-même ayant voulu être sculptrice, elle l'aidera beaucoup dans son désir d'être acteur. La foi de sa mère laissera néanmoins des traces, car son père étant d'origine alsacienne et sa mère d'origine bordelaise, il se définit comme chrétien-alsacien.
Durant la Seconde Guerre mondiale, vers 1943-1944, il vit aussi en pension à Neauphle-le-Vieux, à l’École du Gai Savoir de Michel Bouts où sa passion du théâtre est née. Pendant que son frère est engagé dans la 1re armée de de Lattre, Claude Rich assiste à la Libération de Paris.
Il commence à travailler comme employé de banque, suit en parallèle les cours Dullin, le Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche, et intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, promotion de 1953 dont il sort avec le deuxième prix (par ailleurs, aucun premier prix n'est décerné cette année-là). C'est là qu'il se lie d'amitié avec plusieurs élèves qui deviendront tous d'illustres acteurs: Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer. Ensemble ils forment ce qui fut appelé la «bande du Conservatoire».
Claude Rich fait ses débuts au théâtre de la Renaissance, et participe au film Les Grandes Manœuvres de René Clair, ce qui lance sa carrière cinématographique en 1955.
Il interprète fréquemment des rôles secondaires de jeune premier dans les années 1960, notamment en donnant la réplique à Lino Ventura dans Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner ou à Louis de Funès dans Oscar (1967). En 1968, Alain Resnais lui propose l'un des plus grands rôles de sa carrière dans le film de science-fiction Je t'aime, je t'aime, dans lequel il interprète un homme voyageant dans son passé après une tentative de suicide. Le réalisateur l'a choisi pour son timbre de voix qu'il apprécie particulièrement.
Durant les décennies 1970 et 1980, il retourne à sa passion première, le théâtre, notamment dans Hadrien VII pour lequel il est récompensé par le Prix du Syndicat de la critique, ainsi que dans un passage très remarqué à la Comédie-Française pour le rôle-titre de Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mis en scène par Franco Zeffirelli (1976). Cela ne l'empêche pas d’apparaître plusieurs fois sur grand écran, notamment dans La Femme de Jean (1974) dans un rôle atypique, Adieu poulet (1975), Le Crabe-Tambour (1977) et La Guerre des polices (1979).
En 1989, il joue Talleyrand dans la pièce Le Souper de Jean-Claude Brisville, aux côtés de Claude Brasseur. L’adaptation cinématographique de cette pièce lui permet d'effectuer un retour en force au cinéma en 1992. Sa prestation sera récompensée par le César du meilleur acteur en 1993. ...
Source: Article "Claude Rich" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.
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