Édouard Balladur
Édouard Balladur, né le 2 mai 1929 à Izmir (Turquie), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Il est Premier ministre du 29 mars 1993 au 17 mai 1995.
Conseiller d'État, il assume les fonctions de secrétaire général de la présidence de la République de 1973 à la mort du président Georges Pompidou, en 1974. Élu député de Paris en 1986, il est nommé dans la foulée ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de la Privatisation dans le premier gouvernement de cohabitation, fonction qu'il exerce jusqu’en 1988.
Édouard Balladur est nommé Premier ministre à la suite de la victoire de l'Union pour la France aux élections législatives de 1993, inaugurant de fait la deuxième cohabitation. Candidat à l'élection présidentielle de 1995, soutenu par l'UDF et une partie du RPR, il arrive en troisième position avec 18,58 % des voix.
Après avoir quitté ses fonctions de Premier ministre, Édouard Balladur retrouve son siège de député, puis préside la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale de 2002 à 2007. Par la suite mis en cause pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995, il est relaxé par la Cour de justice de la République en 2021.
Conseiller d'État, il assume les fonctions de secrétaire général de la présidence de la République de 1973 à la mort du président Georges Pompidou, en 1974. Élu député de Paris en 1986, il est nommé dans la foulée ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de la Privatisation dans le premier gouvernement de cohabitation, fonction qu'il exerce jusqu’en 1988.
Édouard Balladur est nommé Premier ministre à la suite de la victoire de l'Union pour la France aux élections législatives de 1993, inaugurant de fait la deuxième cohabitation. Candidat à l'élection présidentielle de 1995, soutenu par l'UDF et une partie du RPR, il arrive en troisième position avec 18,58 % des voix.
Après avoir quitté ses fonctions de Premier ministre, Édouard Balladur retrouve son siège de député, puis préside la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale de 2002 à 2007. Par la suite mis en cause pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995, il est relaxé par la Cour de justice de la République en 2021.
